mardi 18 novembre 2008

la photo de la semaine...

Pour cet animal, pas besoin de chercher bien longtemps... Nous serons tous d'accord qu'il s'agit bel et bien d'une girafe. Et à ce propos, saviez-vous qu'une girafe ne dort que 6 minutes par jour? Et bien oui, elle ne dispose pas de beaucoup de moyens de défense, c'est donc très dangereux pour elle de dormir trop longtemps. Couchée sur le sol, elle est bien trop vulnérable.
Elle passe donc son temps à manger les feuilles des accacias et à marcher dans la savanne, à la recherche de points d'eau. Et là aussi, la girafe doit faire attention. Car le fait de boire la met dans une situation dangereuse. Vous ne verrez donc jamais de girafe se coucher sur le sol pour boire; elles ne font qu'écarter les pattes avant de manière à pouvoir baisser la tête... Ben oui, ça doit pas toujours être pratique d'avoir un aussi long cou... ;-)

Retrait partiel des troupes rebelles en RDC

Deux jours après une conférence entre le chef rebelle Nkunda et un envoyé spécial de l'ONU, la rébellion a annoncé le retrait d'une partie de ses troupes au nord de la République Démocratique du Congo.
Ce retrait ne concerne toutefois pas les groupes rebèlles les plus sensibles. Quand bien même, il constitue "un chemin pour la paix" selon le Congrès National pour la Défense du Peuple (CNDP). C'est d'ailleurs ce Congrès qui a pris la décision de ce retrait lors d'une réunion.
Cependant, des affrontements ont à nouveau éclatés mardi entre l'armée et des miliciens pro-gouvernementaux. Ces nouvelles violences témoignent du fait que pour un réel retour à la paix, il faudrait bien plus qu'un retrait partiel des troupes.

Carla Bruni se lance dans l'humanitaire !

Et oui, il fallait s'y attendre : après Angélina Joly, c'est Carla Bruni-Sarkosy qui décide de redorer son image. Son idée ? Au lieu des "traditionnels" sacs de riz, Carla Bruni a décidé d'offrir... des sacs à main.
Après son séjour en Afrique du Sud, l'ancien top model est tombée sous le charme d'un sac à main qui lui avait été offert par des couturières travaillant pour une coopérative située dans un bidonville. Elle a donc décidé de le copier en 240 exemplaires et de vendre ces sacs aux couleurs d'Afrique du Sud dans une boutique parisienne. Il coûte 100 euros et les bénéfices seront reversés à une Organisation Non Gouvernementale. Et comme se le demande la journaliste Leïla Slimani, "À quand un modèle baptisé « Favela » ou « Bidonville » ? « Banlieue difficile » ne serait pas mal non plus…"